(Translated by Google) Aaah, Divonne-les-Bains, a commune with the aim of highlighting their morale and ecological commitment.
A municipality which used mediocre AI to create the backgrounds in its newspaper rather than hiring competent graphic designers or local illustrators and artists. When we know the ecological disaster that the use of AI is becoming, especially to make pathetic little snowflakes.
A town that lets the Mont-Mussy forest deteriorate, facing a little more threat each year with bad weather and the number of dead trees on the verge of falling on the road - or users of the Vita route. A forest that is dear to their hearts only when winter comes and it is time to go and cut down young fir trees to decorate the lampposts on the Grande Rue. A forest, moreover, which serves as an open-air kennel for our Swiss compatriots and which endangers the local fauna, whether during the breeding season or not.
A town that calls itself an essential destination for entertainment and tourism, but which prefers to see banks and real estate agencies leave the land rather than take care of its cinema/theater and its aquatic center.
A municipality FOR the inhabitants and BY the inhabitants but which prefers to concentrate mainly on the potential of cross-border workers, even if it means making Divonne-les-bains an (even bigger) dormitory town with their dear, very dear little project of the Ecodistrict of the station. A town which sees its restaurants closing one after the other and being replaced, due to lack of regular and loyal customers.
Divonne-Sans-Les-Bains, a town with a thousand and one promises; a city with a thousand and one ambitions that has become a mirage of what it could have been, due to the ego of some and the stupidity of others.
(Original)
Aaah, Divonne-les-Bains, une commune avec pour but de mettre en avant leur moral et engagement écologique.
Une commune qui a reccourt à de l'AI médiocre pour faire les backgrounds dans son journal plutôt que d'engager des graphistes compétents ou des illustrateurs et artistes locaux. Quand on sait la catastrophe écologique qu'est en train de devenir l'usage de l'AI, surtout pour faire de minable petits flocons de neige.
Une commune qui laisse la fôret du Mont-Mussy se décrépir, devanant une menance un peu plus chaque année avec les intempéries et le nombre d'arbres mort à la limite de tomber sur la route--ou les usagers du parcours Vita. Une fôret qu'y est chère à leur coeur seulement quand vient l'hiver et qu'il est l'heure d'aller abattre de jeunes sapins pour décorer les lampadaires de la Grande Rue. Une forêt d'ailleurs qui sert de chenil à ciel ouvert à nos compatriotes suisse et qui met en périle la faune locale, que ce soit en période de reproduction ou non.
Une commune qui se dit destination incontournale pour le divertissement et le tourisme, mais qui préfère voir sortir de terres des banques et des agences immobilière plutôt que de prendre soin de son cinéma/théatre et de son centre aquatique.
Une commune POUR les habitants et PAR les habitants mais qui préfère ce concentrer principalement sur le potentiel des frontaliers, quitte à faire de Divonne-les-bains une (encore plus grosse) Ville-dortoir avec leur cher, très cher petit projet de l'ÉcoQuartier de la gare. Une commune qui voit ses restaurants fermer les uns après les autres et être remplacer, faute de clientèle régulière et fidélisé.
Divonne-Sans-Les-Bains, une commune au mille et unes promesses; une ville aux mille et une ambitions devenu un mirage de ce qu'elle aurait pû être, faute à l'égo de certain et la bêtise d'autre.