(Traduzione di Google) Recensione a due stelle: La Bodega, dove le stelle cadenti si mescolano alla banalità intergalattica
Beh, se cercate una serata memorabile a La Bodega, potreste averne una... ma non necessariamente per i motivi giusti. Cominciamo con gli aspetti positivi, per non sembrare completamente amareggiati: il servizio al bar è straordinariamente efficiente. I baristi, che sono indiscutibilmente da 4 stelle, sono dei veri professionisti, con la velocità di un treno ad alta velocità e la precisione di un chirurgo. Tanto di cappello a loro; sono le vere star di questo locale, gli eroi non celebrati che vi permettono di affogare i vostri dispiaceri (o il vostro disgusto) in un bicchiere ben pieno.
Scusate, ho esaurito le stelle per questa stella insignificante. È lì che sta il problema, ed è proprio lì: l'intrattenimento musicale. Il DJ, ah, il DJ... parliamo di lui. Cercherò di essere educato, anche se lui non lo è. A quanto pare, Bodega ha scovato un esemplare raro, una sorta di reliquia interstellare dimenticata in un angolo dell'universo. Questo signore si immagina una rock star, ma in stile "David Groslourd", un prodigio del giradischi, colui che rivoluzionerà la vostra serata. In realtà, è più simile all'hobbit che ha scoperto un giradischi in cantina e si immagina già di riempire gli stadi.
I suoi set sono un viaggio nel tempo, ma non un granché. Alternano i successi più triti della galassia, costantemente intervallati dalle sue battute sui Carambar, dai suoi commenti biascicati e da esperimenti sonori che farebbero venire i brividi persino ai non morti. È come se avesse scelto a caso la sua musica da un cappello degli anni '80, e di gran lunga non la migliore, con un dado che ha solo lati "dozzinali". E la cosa peggiore è l'atteggiamento da diva che lo accompagna. Vorremmo urlargli: "Fare il DJ è un lavoro, non un hobby per hobbit!".
Davvero, la direzione di La Bodega dovrebbe considerare di offrirgli un biglietto di sola andata, molto, molto lontano. Tipo, un'orbita attorno a Giove, o meglio ancora, un teletrasporto direttamente nel backstage dell'Eurovision Song Contest negli anni '90, e comunque non tra i migliori. Sarebbe un servizio pubblico per le nostre orecchie.
In breve: venite a bere qualcosa a La Bodega; è efficace. Ma per la musica, portatevi i tappi per le orecchie, o meglio ancora, la vostra playlist. Mi ringrazierete!
(Originale)
Avis deux étoiles : La Bodega, là où l'étoile filante côtoient le ringard intergalactique
Bon, si vous cherchez une soirée mémorable à La Bodega, vous pourriez bien en avoir une... mais pas forcément pour les bonnes raisons. Commençons par le positif, histoire de ne pas passer pour un être complètement aigri : le service au bar est d'une efficacité redoutable. Les barmaids pour elles 4 étoiles sans hésiter, de vrais pros, ont la rapidité d'un TGV lancé à pleine vitesse et la précision d'un chirurgien. Chapeau bas à eux, ils sont les véritables étoiles de cette enseigne, les héros de l'ombre qui vous permettent de noyer votre chagrin (ou votre écœurement) dans un verre bien rempli.
Désolé, je n'avais plus d'étoile pour cette star de la nullité, c'est là que le bât blesse, et il blesse fort, c'est au niveau de l'animation musicale. Le DJ, ah, le DJ... parlons-en, je vais essayer d'être polis même s'il ne l'est pas lui même.
Visiblement, la Bodega a déniché un spécimen rare, un genre de relique interstellaire oubliée dans un coin de l'univers. Ce monsieur se prend pour une rockstar mais dans le style"David Groslourd", un prodige des platines, l'élu qui va révolutionner votre soirée. En réalité, on est plus proche du hobbit qui a découvert une platine dans sa cave et qui s'imagine déjà remplir des stades.
Ses sets sont un voyage dans le temps, mais pas le bon. On alterne entre les tubes les plus usés de la galaxie, entrecoupe sans cesse de ses blagues carambar, de ses commentaires vaseux et des expérimentations sonores qui donneraient des frissons même à un mort-vivant. On dirait qu'il a tiré ses musiques au sort dans un chapeau datant des années 80 et de loin pas les meilleurs, avec un dé qui n'aurait que des faces "ringard". Et le pire, c'est cette attitude de diva qui l'accompagne. On a envie de lui crier : "DJ, c'est un métier, pas un hobby pour hobbit !"
Sérieusement, la direction de la Bodega devrait songer à lui offrir un aller simple, très très loin. Genre, une orbite autour de Jupiter, ou mieux encore, une téléportation directement dans les coulisses de l'Eurovision des années 90 et toujours pas dans les meilleurs. Ce serait un service public pour nos oreilles.
En résumé : venez boire un coup à La Bodega, c'est efficace. Mais pour la musique, prévoyez vos boules Quiès, ou mieux encore, votre propre playlist. Vous me remercierez !