(Translated by Google) Sunday September 5, boarding the Train des Pignes in Puget-Théniers, destination Annot.
A great experience in this steam train which offers us a journey out of time, tossed by the rolling of the wagons on the rails, our noses quivering under the smell of the black smoke escaping from the locomotive's chimney and the particles of soot which mar our faces and our clothes.
The slow pace gives us time to appreciate the landscapes of the valley and the small villages that line the route. That day, Enzo, a young man who volunteers with the Train des Pignes association, took on the challenge of making the journey with us, by road, on his bike. During the stop at Entrevaux, we were surprised to discover Templars who had come to honor the passage of the train. At the Annot terminus, Nadège - the friend who accompanies me, has the opportunity to get on the locomotive and interview Lucille, the train driver, whose smile radiates the place. A woman in charge is a promising sign for our project.
We even witness the turnaround of the locomotive which then catches up the wagons for the return to Puget-Théniers.
Well done and thank you to the entire team of volunteers who continue to maintain this heritage and keep this tradition alive.
(Original)
Dimanche 5 septembre, embarquement à bord du Train des Pignes à Puget-Théniers, destination Annot.
Belle expérience dans ce Train à vapeur qui nous offre un voyage hors du temps, ballotés par le roulis des wagons sur les rails, le nez frémissant sous l’odeur de la fumée noire s’échappant de la cheminée de la locomotive et les particules de suie qui marbrent nos visages et nos habits.
Le rythme lent nous laisse le temps d’apprécier les paysages de la vallée et les petits villages qui jalonnent le parcours. Ce jour-là, Enzo, jeune homme bénévole au sein de l’association du Train des Pignes, s’est lancé le défi de faire le trajet avec nous, par la route, sur son vélo. Lors de l’arrêt à Entrevaux, nous avons la surprise de découvrir des Templiers venus honorer le passage du train. Au terminus d’Annot, Nadège - l’amie qui m’accompagne, a l’occasion de monter dans la locomotive et d’interviewer Lucille, conductrice du train, dont le sourire irradie les lieux. Une femme aux commandes, c’est un signe prometteur pour notre projet.
Nous assistons même au retournement de la locomotive qui raccroche ensuite les wagons pour le retour sur Puget-Théniers.
Bravo et merci à toute l’équipe des bénévoles qui continue à entretenir ce patrimoine et faire vivre cette tradition.