(Traduit par Google) Terrat – Mandarin Oriental Barcelona : l’élégance à un haut niveau, mais avec une pression commerciale au rez-de-chaussée.
Nous sommes montés à Terrat pour profiter d'un verre et de tapas avant le dîner. La terrasse, spectaculaire. Un environnement soigné, des vues de carte postale de Barcelone et cette lumière chaude du coucher de soleil qui semble tout droit sortie d'une campagne Loewe.
Mais dès notre arrivée – ils ne nous ont même pas laissé nous asseoir – ils se sont déjà précipités pour prendre des notes. Insistant, comme si l'idée de commander une seule boisson était incompatible avec leur politique de terrasse surélevée.
Nous avons commandé un ceviche de mangue : frais, visuellement beau, idéal pour l'occasion. Rien à redire. Ce qui nous a dérouté, c'est le serveur – avec un accent britannique, un espagnol courant et l'attitude d'un chef de protocole non invité – qui, en retirant l'assiette, a lâché :
« Mon Dieu, je n’ai jamais vu une assiette aussi vide. »
Bon sang... si on l'avait rempli davantage, on aurait eu l'impression qu'on ne l'avait pas mangé du tout.
Ils nous ont servi une tapa, nous l'avons mangée, et pourtant, nous avions encore l'impression de devoir nous expliquer.
Et puis vint le vin. Littéralement. Nous avons commandé un verre d'Albariño Valtea 2023 (DO Rías Baixas), qu'ils proposent au verre sur leur propre menu.
Il a été servi trop chaud et dans un verre sans goût, inapproprié pour un prix de 14 €.
Et l'explication du serveur :
"C'est un Albariño local, fabriqué à Barcelone."
Curieux. Car, à notre connaissance, Rías Baixas se trouve toujours en Galice, et non dans l’Eixample.
Nous n'avons rien dit par politesse, mais l'explication était plus dure à avaler que le vin. Nous partons du principe que les touristes sont dupés.
Nous avons également commandé un verre de cava, le seul disponible au verre. Rien d'extraordinaire, mais correct. La surprise est venue en voyant l'addition : ils voulaient nous facturer la bouteille entière (75 €). Si nous ne l'avions pas attrapé, nous aurions payé le triple pour quelque chose que nous n'avions même pas commandé.
Le reste de l'équipe ? Correct, professionnel, poli. Mais le ton sous-jacent était clair :
« Demandez plus, dépensez plus, buvez plus. »
Et cela, dans un hôtel considéré comme l'un des plus luxueux de la ville, non seulement cela ne fait pas de bien... mais cela fait des dégâts.
📍Conclusion :
Venez pour la vue, restez pour l'ambiance. Mais si vous décidez de ne boire qu’un seul verre… soyez prêt à défendre votre décision comme s’il s’agissait d’un procès.
Nous comprenons parfaitement les prix élevés ; on ne s'attendait à rien de moins, mais au moins le vin devrait être à la hauteur… et le service aussi.
Le luxe, le vrai, n’a pas besoin d’être poussé.
(Avis d'origine)
Terrat – Mandarin Oriental Barcelona: elegancia en altura, pero con la presión comercial al ras de suelo.
Subimos a Terrat para disfrutar de una copa y una tapilla antes de cenar. La terraza, espectacular. Ambiente cuidado, vistas de postal sobre Barcelona y esa luz cálida del atardecer que parece sacada de una campaña de Loewe.
Pero justo al llegar —ni sentarnos nos dejaron— ya estaban con prisas por tomar nota. Insistentes, como si la idea de pedir solo una copa fuera incompatible con su política de terrazas elevadas.
Pedimos un ceviche de mango: fresco, visualmente bonito, ideal para la ocasión. Nada que objetar. Lo que sí nos descolocó fue el camarero —con acento británico, castellano suelto y actitud de jefe de protocolo no invitado— que al retirar el plato soltó:
“Madre mía, nunca había visto un plato tan vacío.”
Hombre… si lo llegamos a dejar más lleno, directamente parecería que no lo habíamos comido.
Nos sirvieron una tapa, la comimos, y aún así parecía que teníamos que dar explicaciones.
Y luego vino el vino. Literalmente. Pedimos una copa de Albariño Valtea 2023 (DO Rías Baixas), el que ofrecen por copas en su propia carta.
Se sirvió demasiado cálido y en una copa sin ninguna gracia, impropia para un precio de 14 €.
Y la explicación del camarero:
“Es un Albariño local, hecho en Barcelona.”
Curioso. Porque hasta donde sabemos, Rías Baixas sigue estando en Galicia, no en l’Eixample.
No dijimos nada por cortesía, pero nos costó más tragar la explicación que el vino. Suponemos que a los turistas se lo cuelan.
También pedimos una copa de cava, el único disponible por copas. Nada extraordinario, pero correcto. La sorpresa vino al ver la cuenta: nos querían cobrar la botella entera (75 €). Si no lo llegamos a detectar, habríamos pagado el triple por algo que ni habíamos pedido.
¿El resto del equipo? Correcto, profesional, educado. Pero el tono de fondo era claro:
“Pida más, gaste más, beba más.”
Y eso, en un hotel que se presume entre los más lujosos de la ciudad, no solo no suma… resta.
📍 Conclusión:
Ven a por la vista, quédate por el ambiente. Pero si decides tomarte solo una copa… prepárate para defender tu decisión como si fuera un caso judicial.
Entendemos perfectamente que los precios sean altos, no esperábamos menos, pero al menos que el vino esté a la altura… y el servicio también.
El lujo, el de verdad, no necesita empujar